L'Unione Europea di Annalisa Brunetti (annalisa_brunetti@yahoo.it), Domenico Di Lorenzo (domebike@yahoo.it), Daniela Cappa (daniela.cappa@alice.it)

L’Empire Romaine, unificateur de la culture méditerranéenne

L’Empire Romaine [F1] [F2] [F3] [F4] [E1] [E2] [E3] [E4] [E5] [Es1][Es2][Es3], est donc le médiateur principal pour l’unification et, au même temps, un puissant empire qui va coller tous les gens et les fait vivre ensemble: cet Empire qui se déplace aussi vers le Nord jusqu’au Danube-Rhin, son lieu de puissance. Là, où l’organisation romaine est présente, on voit un signe durable, favorisant la colonisation de terres agricoles et leur utilisation et créant un réseau de routes et de services, outre qu’ à donner partout un model urbain similaire à celui de Rome.

Jusqu’au moment de son apogée (début du II siècle après Jesus Christ), l’Empire Romane représente le facteur le plus puissant de l’unification de l’EU qui comprend des territoires français, anglais et espagnols. Les choses changent depuis la domination de Marco Aurelio (161-180)avec la première invasion des populations germaniques, arrivées jusqu’en l’Italie. Elles ne sont que des avant-gardes migratoires qui, pendant le Vème et le VIème siècle, mènent de l’est des peuples appelés "barbares" [F1] [E1]: c’est ça la cause (c’est-à-dire, ces peuples germaniques et slaves) qui ira bientôt détruire l'Empire Romane d'Occident.[Es1]

Le massif déplacement des Ostrogotes, des Visigoths, des Vandales, des Francs et des Allemands ne réussit pas à détruire complètement le tissu intime de la société romaine qui est à la fois bien dans ses structures (grâce à ces peuples), et mal à l’aise (à cause d’eux-mêmes). Un changement va se produire; la fusion entre la culture romaine et celle “étrangère” a lieu pendant les périodes républicaine et impériale, même si c’est vrai que, jusqu’à ce moment-ci, on ne peut parler que d’Europe culturelle. Et c’est vrai aussi que c’est le point de vue culturel qui avait donner vie à l’idée la plus ancienne de l’Europe donc il est nécessaire de mentionner des auteurs latins qui ont aidé à l’évolution de cette idée.

La littérature latine [F1] [F2] [F3] [F4] [Es1][Es2][Es3]débute au IIIème siècle et améliore grâce à celle hellénique [F1], qui garde tout le patrimoine littéraire, philosophique et scientifique élaboré par la société grecque entre le VIIème et le IVème siècle avant Jesus Christ. Puisque l’intellectuel romain est bilingue, ses études prévoient un voyage d’études à Athènes et dans les principaux centres de la culture hellénique pour suivre des cours de philosophie et de rhétorique avec des maîtres grecs. Cela, en tous cas, n’a jamais signifié que tout devait être accepté tel quel: au contraire, cela était synonyme de disponibilité et d’envie d’assimiler des choses utiles et fonctionnelles.

Le développement de la littérature latine se produit vers le IIème siècle avant Jesus Christ grâce à la rencontre - pas toujours heureuse - entre le monde latin et un modèle de civilisation différent par rapport à celui de Rome. Mais des obstacles (surtout idéologique-culturels) vont se poser sur son chemin: en effet, les idéaux de vie que la culture grecque proposait étaient totalement différents face à la culture romaine. Par exemple, on se rappelle de l’Epicurisme (un de grands courants philosophiques en vogue à Rome)[E1] [F1], mais l’intégration de cultures différentes a peu de chance à se faire noter car les conservateurs s’opposent à tout élément étranger. Il faudra plus d’un siècle pour voir Rome en mesure d’être et de penser « plus libérale », période qui va correspondre aux moments de grandes conquêtes, où la culture romaine atteint les frontières de l’Europe les plus éloignés, en conquérant la Dacie, sous l’empereur Trajan. C’est à Jules César [E1] de devenir le conquéreur le plus fameux, mais l’annexion à l’Empire signifie une offre aux vaincus de devenir des gens de Rome complètement, pas des personnes à exploiter, ce qui empêche des révolutions causées par du mécontentement.

Le temps passe et l’Empire entre dans une phase de décadence car le lien qui lie ces peuples va s’affaiblir, n’étant plus construit sur une identité commune. L’Empire Romain voit dans la religion d’Etat un élément de cohésion pour le grand nombre de citoyens romains qui se trouvent à l’intérieur de ses limites : c’est justement pour cela que les nouvelles valeurs du Christianisme [F1] [F2] [E1] [E2] [E3] [E4] [Es1][Es2][Es3]et le refus de la part de ses fidèles de se consacrer aux sacrifices pour les dieux imposés par la religion romaine officielle constituent une menace pour l’ordre socio-politique de Rome. Voilà le pourquoi des innombrables persécutions contre le chrétiens et l’impossibilité, pendant les premières années de diffusion du culte, de professer librement leur religion, jusqu’au édit de Constantin du 313 après Jesus Christ.

L’Empire Romain, très faible à l’intérieur, n’arrive plus à faire face aux invasions et à rester entier et uni. A la fin du VIIIème siècle, après les grandes bouleversements des invasions barbaresques et après le reconquise par Justinien [F1], l’empereur de l’Empire Romain, la situation paraît plus stable avec le consolidation du royaume des Francs (en occident); le royaume des Longobards (dans Italie septentrionale) [E1] [E2][Es1]; l'area byzantine (Italie di sud) à l’intérieur de l'Empire Romain d'Orient [F1] [F2] [F3][Es1][Es2][Es3]; les cultures slaves à est de la mer Adriatique.

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