Athlétisme. La course de résistance di Molinari Marina

ERREURS COMMUNES PENDANT LA COURSE

Courir avec les pieds tournés à l'extérieur détermine une course peu efficace et dispendieuse. Elle produit des dommages aux cartilages des genoux et on peut le vérifier en regardant l’usure du talon extérieur de la chaussure. La correction prévoit de la course sur référence rectiligne (par exemple, lignes coloriées à terre).

Courir sur les pointes, ne s'amortit pas et on produit des dommages aux pieds et aux genoux. C’est un mouvement qui n’est pas naturel, pour se corriger il est suffisant de laisser aller la course qui par nature prévoit la « roulée » du pied.

Courir en sautillant Si le barycentre va en haut et en bas, on se fatigue inutilement et on sollicite trop les genoux. Pour corriger ce défaut, il faut se forcer de courir les jambes légèrement pliées, effectuer des exercices de skip, courir en descente à pas rapprochés ou avec un petit poids sur la tête qui ne faut pas laisser tomber.

Courir assis. C’est le défaut opposé au précédent et détermine une insuffisante poussée de la jambe. Pour le corriger il faut faire des exercices de tonification des muscles extenseurs[ F1 ][ F2 ][ E1 ][ E2 ][ ES1 ][ ES2 ][ I1 ][ I2 ] de la jambe.

Courir en inclinant le buste en avant détermine une mauvaise respiration et on va corriger cette erreur en se forçant de courir la poitrine dehors.

Courir à jambes larges détermine une course qui n’est pas efficace et qui se corrige en augmentant la fréquence des pas (exercices de skip [ M ]).

Courir à genoux hauts est typique des sprinters. Avec l’augmentation des distances parcourues, la fatigue porte à abaisser les genoux.

Courir en oscillant et en tordant le buste. Le buste oscille et torche latéralement par action des bras, qui bougent sur le plan transversal. On peut se corriger en forçant le mouvement d'oscillation avant arrière des bras et en réduisant l'angle entre bras et avant-bras.

Courir en remuant les bras. Les bras offrent une importante contribution à la course et entre bras et avant-bras on forme un angle d'environ 90°, bloqué. Si cet angle se modifie, on se fatigue et la respiration devient difficile. En outre les mains ne devraient pas pendre. Il faut tonifier la musculature des bras.

   8/20   

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Edurete.org Roberto Trinchero