La prevention du SIDA di Veronique Malric - veroperotti@hotmail.com (traduzione del percorso di Manuela Letizia, manuela.letizia@libero.it)

Grossesse et procréation

Si une femme séropositive est enceinte elle doit prendre des médicaments pour ne pas transmettre le virus à son enfant. Elle est plus sujette au développement de pneumonie de Pneumocystis Carinii, à des infections génitales (qui peuvent causer des accouchements prématurés) et à la rupture de la membrane amniotique (qui serait liée à une augmentation du risque de transmission périnatale du virus VIH étant donné qu’elle augmente la durée de l’exposition du fétus aux sécrétions vaginales infectées) [I1].
En ce qui concerne les mécanismes de la transmission du virus de la mère à l’enfant, on est encore incertain en particulier, sur le pourcentage des fétus infectés dans l’utérus, même si, la transmission survient au moment de l’accouchement. Le mécanisme de l’infection fœtale, durant la grossesse, implique le passage de cellules infectées maternelles, placentaires ou de virus libres dans le sang du fétus durant les contractions ou par contamination avec pertes vaginales infectées pendant l’accouchement [E1] . Pour réduire le risque de contagion mère/enfant , on a remarqué qu’il est préférable de recourir à l’accouchement par césarienne afin d’ éviter le passage de cellules infectées dans le vagin, et d’en réduire la transmission dans le sang du fétus en diminuant la durée du travail. Donc pratiquer une césarienne avant le travail peut réduire jusqu’à 50% les risques de transmission du virus VIH. La durée du travail a également une influence significative sur l’incidence de la transmission du virus VIH, en effet si la rupture de la membrane survient quatre heures avant l’accouchement, le risque que l’enfant soit contaminé est supérieur par rapport à ceux qui naissent dans les quatre heures.
La prise de remèdes antirétroviraux durant la grossesse et surtout durant l’accouchement est de grande importance car elle réduit de beaucoup le risque de transmission ; en effet une combinaison entre la thérapie antirétrovirale, la césarienne et l’allaitement artificiel diminue de 30% à2% le risque d’avoir un enfant infecté par le virus VIH [E1] [Es1].
Il faut savoir que tous les enfants nés de mères séropositives sont séropositifs jusqu’à plus ou moins 18 mois, même n’étant pas infectés dans certains cas. Ceci arrive parce que les anticorps d’origine maternels traversent le placenta et sont remarquables pendant plusieurs mois chez le nouveau né sain. La présence d’anticorps, donc dans ce cas, n’est pas un problème.

La contamination mère /enfant

La contamination de l’infection de la mère à l’enfant survient principalement pendant la grossesse. De 15% à 40% des enfants, nés de mères infectées, attrape l’infection si la mère ne se soigne pas. 25% de ces derniers sont infectés dans l’utérus, 55% pendant le travail et 20 % pendant l’allaitement (post partum). Il est très important de prendre des remèdes antirétroviraux durant l’allaitement, immédiatement après la naissance. Plus le niveau de VIH-ARN plasmatique chez la mère est élevé et plus les possibilités de transmettre le virus à l’enfant sont élevées.

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Edurete.org Roberto Trinchero